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En 25 ans, les dépenses de protection sociale ont nettement augmenté, financées de plus en plus par les ménages

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Si, en 2006, les dépenses de protection sociale ont progressé un peu moins vite que la richesse nationale (1), c'est une tendance inverse que l'on constate sur une plus longue durée. La part des transferts sociaux s'est accrue de près de cinq points en 25 ans, relève la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) après une reconstitution de données homogènes sur cette période (2). Les prestations sociales versées aux ménages représentent en effet 29,4 % du produit intérieur brut (PIB) en 2006, contre 24,5 % en 1981. L'évolution n'a pas été linéaire durant la période, loin de là, et les années 2002-2005 correspondent à une nouvelle phase d'accélération. Les risques santé et vieillesse expliquent à eux seuls plus de 80 % de la croissance de l'ensemble. Les ressources ont globalement suivi l'évolution des dépenses, mais avec un léger décalage puisque leur hausse n'est que de 4,2 points de PIB en 25 ans. Le solde de la protection sociale, positif dans les années 80, est, on le sait, déficitaire depuis (sauf entre 1998 et 2002). La structure des recettes aussi a nettement évolué. Les cotisations sociales, qui totalisaient 79 % des ressources dans…
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