Les AVS veulent être consultés sur la création de leur métier
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Créée en 2007 précisément pour faire reconnaître « un métier d'accompagnant scolaire, périscolaire et de loisirs » auprès des enfants handicapés, l'Unaïsse (Union nationale pour l'avenir de l'inclusion scolaire, sociale et éducative) (1) veut se faire entendre. Au moment où le ministre de l'Education nationale annonce que le cadre de ce nouveau métier sera dévoilé avant la fin de l'année, elle adresse une nouvelle lettre ouverte au gouvernement (2). L'associa-tion demande notamment une rencontre avec Valérie Létard afin que le cas des AVS (auxiliaires de vie scolaire) soit également inclus dans son « plan métiers ». Avec la création de 2 000 nouveaux contrats prévue en cette rentrée, le nombre de postes d'AVS atteint, selon le ministère de l'Education nationale, 18 300, ce qui représente 22 000 personnes (en tenant compte des temps partiels). L'Unaïsse s'étonne que des membres du gouvernement se rengorgent des progrès réalisés dans l'accueil des enfants à l'école ordinaire, « en ne considérant que les données quantitatives, [...] la qualité du service rendu [n'étant] jamais prise en compte ». A ses yeux, pourtant, « la qualité du service évolue de manière inversement proportionnelle…
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