Mise au point de la DGAS sur le cadre de fonctionnement des groupes d'entraide mutuelle pour les malades psychiques
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 2 min.
Tirant le bilan 2005-2007 de la mise en place des groupes d'entraide mutuelle (GEM) pour personnes handicapées psychiques, la direction générale de l'action sociale (DGAS) entend recadrer un certain nombre de pratiques. C'est pourquoi elle apporte des précisions à ses instructions diffusées dans une circulaire du 30 mars 2007 (1). La DGAS indique à ses services déconcentrés les conditions dans lesquelles un GEM peut continuer à fonctionner avec l'aide de l'Etat et les critères à contractualiser dans la convention de financement. Ces précisions doivent leur permettre de faire évoluer les structures qui ne répondent pas au cahier des charges. Si cette évolution n'est pas possible, ils doivent mettre fin à la convention et, le cas échéant, guider le projet ou la structure vers des cadres plus appropriés tels que l'accueil de jour. Trois critères indispensables sont identifiés par la DGAS. Le GEM doit tout d'abord évoluer vers la création d'une association d'usagers. Cette création peut être progressive, à condition que la période de transition soit connue de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales. Le GEM est en outre tenu de se doter d'un parrain. La convention…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques