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Six organisations veulent la fermeture des EPM et le redéploiement des budgets vers les structures éducatives

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Plus d'un an après l'ouverture du premier établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM), en juin 2007, à Meyzieu (Rhône), six organisations - Syndicat de la magistrature, Syndicat des avocats de France, SNPES-PJJ-FSU, CGT-PJJ, CGT-pénitentiaire et Ligue des droits de l'Homme - réitèrent leur opposition à ces structures à travers un « bilan critique ». Les EPM, dénoncent-ils, constituent, « sous couvert de l'amélioration des conditions de détention des mineurs », un « leurre éducatif » tout en banalisant l'incarcération des 13-18 ans, alors que la prison est connue pour être un facteur d'exclusion et de récidive. Ce, au détriment des structures éducatives qui ont fait leurs preuves et en contradiction avec l'esprit de l'ordonnance de 1945. Le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU fait circuler une pétition « pour la fermeture des EPM » qui a déjà recueilli des dizaines de signatures d'organisations associatives, syndicales et de personnalités, tandis que la CGT-PJJ a adressé le 9 juin une lettre ouverte aux magistrats de la jeunesse sur le ton de la mise en garde : « Le taux de remplissage des EPM commence à poser question. A plusieurs reprises…
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