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Les silences du programme « banlieues »

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« La méthode était la bonne, mais les acteurs, les contenus et les financements ne sont pas tous au rendez-vous. » Ce jugement mesuré sur les compléments apportés le 20 juin au plan « Espoir banlieues » (voir ce numéro, page 5) est celui de l'association des maires Ville et Banlieue de France (1). Pour elle, en effet, Fadela Amara a raison de recourir au droit commun et d'interpeller chaque ministère sur ses politiques « banlieues ». Hélas, ajoute-t-elle, les ministres ne se sont pas « battus pour faire assaut de propositions novatrices ou pour dégager de nouveaux financements ». En matière d'emploi notamment, la mobilisation de quelques grandes entreprises ne suffira pas pour toucher les jeunes en plus grande difficulté. Mais l'association critique surtout les silences du comité interministériel. « Rien sur les finances locales », la péréquation ou la DSU (dotation de solidarité urbaine), questions renvoyées à d'autres instances, selon un calendrier qui fait douter que des mesures seront discutées à temps avec les élus pour être intégrées au projet de loi de finances 2009. « Rien non plus sur la production de logements sociaux dans les villes qui en sont dépourvues » et sur les nouvelles…
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