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Le kaléidoscope du paysage associatif européen

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Si la notion d'association recouvre des réalités fort différentes en France, il en va de même en Europe. A la puissance 27 ? Pas tout à fait... Une étude réalisée par la CPCA (Conférence permanente des coordinations associatives) ne distingue « que » sept modèles de relations entre les secteurs associatifs et l'Etat dans l'actuelle Union européenne (1). Des modèles qualifiés de « scandinave », « balte », « balkanique », « méditerranéen », « d'Europe centrale », ou encore de « libéral » (pour le Royaume-Uni) et de « corporatiste » ou « rhénan » (pour l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, les Pays-Bas et la France). L'histoire compte pour beaucoup dans la place qu'occupent les associations dans les différents pays. En Europe de l'Est, par exemple, l'héritage communiste n'a permis qu'une émergence récente d'un secteur en cours d'organisation. Mais une fois les associations installées, l'attribution d'un rôle dans le dialogue sur les politiques publiques - important au Royaume-Uni, mineur aux Pays-Bas - est directement affaire de volonté politique. Malgré la difficulté d'obtenir des données fiables et comparables d'un pays à l'autre, l'étude donne des indications notamment sur la place…
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