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Quelle reconnaissance pour le conjoint de l'assistante familiale ?

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Les textes relatifs à la profession d'assistant familial ignorent les conjoints - des hommes dans leur immense majorité - qui contribuent pourtant de façon capitale à la qualité de l'accueil des enfants et des jeunes en difficulté. Sortir de l'ombre devient cependant un enjeu pour un nombre croissant d'entre eux, relève Gilles Allières, adjoint de direction à l'Institut pour le travail éducatif et social (ITES) de Brest, qui prépare une thèse de sociologie sur les familles d'accueil (1).
« «Faire» famille d'accueil, c'est exercer une pratique de travail social essentiellement familiale, par et dans la famille. C'est sans doute là ce qui fait l'originalité de la pratique. Contrairement aux apparences, malgré le silence des textes législatifs et réglementaires, aux antipodes de la considération générale, l'expérience et les savoirs techniques accumulés concernant l'accueil familial nous portent à croire que le conjoint (2) est un maillon essentiel de cette «entreprise conjugale et familiale». D'où l'intérêt de montrer la part qu'il y prend alors que les nouveaux textes sur la profession d'assistante…
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