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La désignation du contrôleur général des lieux de privation de liberté doit se faire conformément aux « Principes de Paris » adoptés en 1993 par les Nations unies concernant le statut des institutions nationales pour la promotion et la protection des droits de l'Homme. C'est ce que demandent, dans une lettre ouverte à Nicolas Sarkozy, une quinzaine d'organisations, dont Amnesty International-France, la Cimade, la Ligue des droits de l'Homme, l'Observatoire international des prisons et des syndicats de personnels pénitentiaires, qui s'inquiètent du retard pris dans cette nomination. Elles réclament qu'en vertu de ces principes, la Commission nationale consultative des droits de l'Homme soit consultée. « Rétention de sûreté, une peine infinie » : sous ce titre, huit intervenants - juges, avocat, psychiatre, surveillante pénitentiaire, conseillère d'insertion et de probation, historien, philosophe - argumentent devant la caméra contre la loi sur la rétention de sûreté et le populisme pénal. Un manifeste diffusé par DVD, que ses auteur et producteurs, dont le Syndicat de la magistrature, proposent de projeter librement et de copier sur les sites et blogs. Le film peut être visionné…
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