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« Ardoise », un logiciel à hauts risques, selon l'ANAS et d'autres associations

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Face à la levée de boucliers, Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, a finalement décidé, le 22 avril, de « suspendre » l'expérimentation du logiciel « Ardoise » afin de réfléchir à la pertinence des critères retenus. Testé dans certains services de police, celui-ci devait remplacer le LRP (Logiciel de rédaction des procédures) dans le cadre de la mise en oeuvre du futur fichier Ariane qui regroupera les fichiers STIC (police nationale) et Judex (gendarmerie nationale). Il devait permettre de saisir des informations ayant trait à la vie privée des auteurs, des témoins ou des victimes. Et rendre possible, à partir d'un champ intitulé « état de la personne », l'enregistrement, via des catégories prédéfinies, des données concernant aussi bien leur origine ethnique, leur état de santé, leur orientation sexuelle que des éléments relatifs à leur vie sociale. Selon le ministère de l'Intérieur, il s'agissait de permettre de « caractériser l'infraction et les éventuelles circonstances aggravantes prévues par le code pénal, dans l'intérêt même des victimes (abus de faiblesse, homophobie, racisme, antisémitisme...) ». L'Association nationale des assistants de service social (ANAS)…
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