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« Services déconcentrés : il faut tout remettre à plat »

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Face à la disparition programmée des DRASS et DDASS (directions régionales et départementales des affaires sanitaires et sociales) au profit des agences régionales de santé, d'une part, et des directions de la cohésion sociale, d'autre part, l'Association professionnelle des inspecteurs de l'action sanitaire et sociale (1) apparaît sereine et formule des propositions. Explications de sa présidente, Agnès Marie-Egyptienne.
Comment réagissez-vous à la création des agences régionales de santé (ARS) ?Nous l'envisageons comme un moyen d'améliorer le pilotage des politiques publiques, avec une simplification du paysage institutionnel. Notre système est aujourd'hui éclaté, les responsabilités diluées, avec plus de 40 agences ou organismes assimilés qui gravitent dans le domaine sanitaire et social. L'unité de commandement régionale doit s'appuyer sur des échelons locaux, avec des fonctionnaires identifiés, à même de négocier notamment avec les départements. Pour nous, il s'agit de confirmer un Etat fort, qui ne peut se désengager d'un domaine comme la santé, et qui doit être doté de moyens à la hauteur de ses missions…
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