Recevoir la newsletter

Le contrat d'autonomie déstabilise les missions locales

Article réservé aux abonnés

La parution, le 21 mars, du cahier des charges de mise en oeuvre du contrat d'autonomie prévu par le plan « Espoir banlieues » de Fadela Amara (voir ce numéro, page 15) reste en travers de la gorge des acteurs des missions locales. La réaction des représentants des salariés et des employeurs est unanime : l'objectif de ce nouveau contrat - accompagner dans l'insertion les jeunes de 16-25 ans les plus en difficulté, avec une approche globale personnalisée - coïncide exactement avec le coeur d'activité des missions locales, notamment dans les zones urbaines sensibles. Ce rôle d'accompagnement, reconnu dans le code du travail, a même été rappelé dans la circulaire de la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle sur les nouvelles modalités de financement des missions locales. Celle-ci prévoit la mise en oeuvre d'une convention pluriannuelle d'objectifs (1), fondée sur une négociation de moyens et de résultats au regard d'un diagnostic partagé sur le territoire. Or, pour mettre en oeuvre ce nouveau contrat d'autonomie, s'étonne le Synami (Syndicat national des métiers de l'insertion)-CFDT (2), l'Etat a décidé de procéder par appels d'offres en direction d'opérateurs…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur