L'UNSA-SPJJ durcit le ton sur les projets de l'administration
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 31.12.2017Lecture : 2 min.
Une manière, explique l'UNSA-SPJJ (Syndicat de la protection judiciaire de la jeunesse), d'exprimer le « profond malaise » qui traverse la protection judiciaire de la jeunesse et le sentiment amer de ne pas être écouté : fait plutôt rare, l'organisation syndicale a boycotté le comité technique paritaire central de la PJJ du 3 avril. Comme d'ailleurs le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU. Parmi ses nombreuses préoccupations : les projets de réorganisation territoriale de l'administration, officiellement non validés, mais qui « provoque une onde de choc » à tous les échelons, sans qu'une « communication rigoureuse et précise » ait été effectuée sur les conséquences de cette restructuration sur les personnels, regrette-t-elle dans une déclaration préliminaire à l'intention de la direction. Outre la situation des établissements pénitentiaires pour mineurs, qui, selon elle, font face à un manque d'anticipation des moyens nécessaires à leur fonctionnement, la mise en oeuvre des nouveaux établissements de placement éducatif (EPE) constitue une autre source d'inquiétude. Créés par le décret de structuration juridique des services du 6 novembre 2007,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques