Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : I. S.Lecture : 5 min.
Environ 500 étudiants, selon la police, et 1 000, selon les organisateurs, se sont rassemblés le 3 avril devant le siège de la direction générale de l'action sociale (DGAS) à Paris, arborant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : « Stages gelés, étudiants menacés, éducateurs en danger », « Pas de stage, pas de diplôme ». A la même date, ils étaient 150, habillés en rouge, à manifester dans les rues de Rennes et 250 à battre le pavé et à multiplier les actions à Lille : barrage filtrant devant le conseil général, distribution de tracts, cortège funèbre... Au même moment, d'autres rassemblements et actions symboliques avaient lieu dans de nombreuses villes de France. Depuis, la mobilisation engagée il y a un mois (1) continue sous différentes formes : alors que les étudiants franciliens appelaient à un nouveau rassemblement le 9 avril devant la DRASS où ils devaient être reçus en délégation, leurs collègues bretons occupaient le 7 les locaux de celle de Rennes et, le lendemain, bloquaient l'entrée du conseil général et de la préfecture.Vers une coordination nationale des étudiantsLoin de faiblir, le mouvement - qui ajoute désormais à ses soutiens (2) celui de la Fédération…
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