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« L'esprit de l'ordonnance de 1945 est trahi »

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La présentation du projet de plan stratégique de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) faite par le directeur de cette administration, Philippe-Pierre Cabourdin, dans les ASH du 7 mars dernier (1), suscite des critiques de fond de la part du SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ/FSU. Maria Inès, co-secrétaire nationale de cette organisation majoritaire à la PJJ, a pris la plume.
« La politique pour les trois années à venir qu'a présentée dans les ASH le directeur de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) pourrait paraître dénuée de tout enjeu tant elle s'inscrit dans la continuité de ce qui est à l'oeuvre depuis de nombreuses années, s'agissant notamment du recentrage de l'activité du secteur public de la PJJ sur le pénal et sur des fonctions d'expertise. Ceux qui, à l'instar du SNPES-PJJ, dénoncent la dérive du « tout pénal » dans la prise en charge des mineurs délinquants ne sont certes pas surpris. Ils n'en restent pas moins consternés par un tel passage en force visant à parachever une politique qui trahit l'esprit de l'ordonnance de 1945 et…
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