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Après leur manifestation historique, les « Ni pauvre, ni soumis » veulent maintenant du concret

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Près de 35 000 personnes selon les organisateurs, 16 500 selon la police. En tout cas, ce fut une « belle manif », grave et joyeuse à la fois, émouvante aussi, qui a rassemblé, le 29 mars à Paris, malades chroniques et personnes handicapées. A l'appel du collectif « Ni pauvre, ni soumis ! », jeunes et moins jeunes en fauteuil, aveugles avec leur canne ou leur chien, trisomiques, malades du sida, personnes au handicap moins apparent, familles et amis ont défilé entre la République et l'Opéra, malgré la fatigue d'une nuit souvent écourtée par les contraintes du voyage depuis tous les coins de l'Hexagone. Le soleil donnait un air de fête à cette grande première.Près de 100 associationsL'organisation impeccable a achevé d'en faire « une franche réussite interassociative », selon le mot d'Arnaud de Broca, président de la FNATH (l'association des accidentés de la vie). L'appel à la mobilisation « pour un revenu d'existence décent » n'avait pourtant été lancé qu'à la fin janvier (1). Il faut croire que le feu couvait sous la cendre... En deux mois, près de 100 associations nationales ont rejoint le collectif et ont mobilisé 13 trains, 5 avions, 700 autocars et minibus. Certains…
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