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Services sanitaires et sociaux se coordonnent au plus près de l'usager

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L'intrication des problématiques psychiatriques et sociales remet en cause les logiques d'intervention classiques. En Bretagne, plusieurs expériences témoignent d'une volonté de formaliser la coordination des intervenants du soin et de l'accompagnement social. Des réponses qui sortent des sentiers battus, mais restent fragiles.
Face à des situations complexes, où la frontière entre le normal et le pathologique est de plus en plus ténue, les réponses ciblées ne suffisent plus et des maillages doivent s'inventer. Bon nombre d'expériences ici et là témoignent des efforts des professionnels pour développer des coopérations entre les secteurs social et sanitaire (1). C'est le cas notamment en Bretagne où des intervenants du soin et de l'accompagnement social ont tenté de formaliser cette coordination, qui n'en reste pas moins fragile (2). Depuis 2004, un dispositif partenarial d'étude des situations, baptisé Lampadaire, fonctionne ainsi dans un quartier défavorisé de Rennes (Ille-et-Vilaine). Il réunit des membres permanents d'institutions différentes : centre médico-psychologique (CMP), centre communal d'action sociale (CCAS), centre départemental…
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