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« Perdre » son temps à en donner...

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Pour Didier Bertrand, directeur d'un service d'accueil d'urgence pour jeunes en difficulté et en danger dans les Hauts-de-Seine, vouloir enfermer l'éducation spécialisée dans des horaires normés et strictement décomptés, c'est méconnaître la réalité du terrain : l'important, pour les professionnels, est plutôt de saisir le « moment opportun ».
« La maîtrise du temps est aujourd'hui au coeur d'un processus de «modernisation» des établissements sociaux et médico-sociaux, invités à développer de multiples indicateurs, dont celui relatif à la présence effective auprès des usagers : le «temps actif mobilisable». Cet indicateur - déjà expérimenté mais qui pourrait être généralisé à l'ensemble des structures du secteur - consiste à décompter le temps pour permettre une comparaison de tous les établissements entre eux. Est ainsi calculé le nombre d'heures d'absence pour maladie, congés trimestriels, congés d'ancienneté, convenance personnelle, mandats syndicaux et électifs ou mandats externes, formation interne et externe, et aussi le nombre de celles qui, selon le commentaire soupçonneux de Jean-Pierre Hardy, chef du bureau de la réglementation…
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