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Les visas de transit aéroportuaire (VTA) désormais obligatoires pour certains réfugiés somaliens et tchétchènes risquent d'engendrer des « trafics de passeports » et de contribuer à renflouer les filières dites « clandestines », se sont alarmées, le 22 février, la Ligue des droits de l'Homme et une vingtaine d'associations dans une lettre adressée à Brice Hortefeux, ministre de l'Immigration, et à Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes. En l'absence de voies d'entrée légales, ces personnes n'ont en effet « souvent d'autre solution que d'utiliser un passeport d'une autre nationalité ». Les signataires, qui craignent également que cette mesure ne pousse davantage les réfugiés à emprunter dangereusement « par n'importe quels moyens les voies maritimes », demandent l'annulation de toute décision risquant de contrevenir à la Convention de Genève sur la protection des réfugiés. Le droit du sol remis en cause à Mayotte ? Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Christian Estrosi, a ravivé les inquiétudes en envisageant une nouvelle fois de retirer le droit de réclamer la nationalité française aux enfants nés de parents en situation irrégulière dans cette collectivité…
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