Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 1 min.
Reçue le 19 février par le président de la République, l'UNAF (Union nationale des associations familiales) (1) est satisfaite de son « écoute attentive » et de « l'échange direct » qui s'est instauré. Ce fut l'occasion, pour l'organisation, de rappeler « l'efficacité » de la politique familiale dans le « dynamisme démographique » de notre pays et de redire son opposition à la mise sous condition de ressources des allocations familiales, récemment proposée par le rapport Attali. Pour elle, « l'universalité des allocations contribue plus efficacement à la lutte contre la pauvreté qu'une politique ciblée sur les bas revenus », la priorité étant « d'éviter aux familles de tomber dans la pauvreté ». Nicolas Sarkozy a, selon l'UNAF, écarté clairement l'hypothèse évoquée en affirmant « la nécessité d'une politique familiale distincte d'une politique sociale ». A sa demande d'une mise en place rapide du Haut Conseil de la famille, appelé à remplacer la Conférence annuelle de la famille et à « inscrire dans la durée les efforts » à réaliser en la matière, l'union s'est vu promettre que cela se ferait avant la fin du premier trimestre. Le droit opposable à la garde d'enfants sera « l'un…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques