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Des équipes mobilisées pour aller au-devant des adolescents en souffrance

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La demande de soins des jeunes est rarement exprimée, et plus rarement encore aux jours et heures d'ouverture des consultations de psychiatrie en milieu hospitalier ou en ville. Certaines équipes vont donc à leur rencontre. En intervenant, sans différer, à l'appel de proches des intéressés, qui se font les porte-parole de leur souffrance, ces cliniciens parient sur l'effet mobilisateur de leur démarche pour conduire les jeunes à se soigner.
Violence, dépression, retrait scolaire, conduites addictives, attitudes suicidaires... Au travers de comportements bruyants ou silencieux, les adolescents ont de multiples manières de faire connaître leur mal-être. Mais ils sont plus rarement en capacité de formuler clairement un besoin de soins - qu'en revanche ils récusent explicitement souvent d'emblée. De son côté, entre dramatisation et banalisation de la « crise » adolescente, l'entourage du jeune est souvent démuni pour décrypter ses signaux de détresse. Et, quand il les repère, il lui faut trouver - rapidement - l'oreille de spécialistes qui acceptent d'entendre une demande d'aide qui leur est adressée par tiers interposé. Voire qui n'hésitent…
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