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Haro sur le contrôle du train de vie des allocataires du RMI et de la CMU-C

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Le décret du 28 janvier dernier sur l'évaluation du train de vie pour l'octroi ou le renouvellement du revenu minimum d'insertion (RMI), de certaines prestations sociales et de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) (1) suscite la colère de plusieurs mouvements de soutien aux chômeurs et aux personnes en difficulté. Sur le principe d'abord. Sous couvert de lutter contre quelques cas de fraude, dénoncent plusieurs organisations, dont AC !, APEIS (Association pour l'emploi, l'information et la solidarité), le Collectif national droits des femmes, le DAL (Droit au logement) et le MNCP (Mouvement national des chômeurs et précaires) (2), le texte stigmatise les plus vulnérables par la suspicion et le contrôle. Sur le contenu ensuite. S'il leur reste encore à effectuer des simulations pour estimer plus précisément les conséquences du décret, ces organisations jugent que les montants prévus dans l'évaluation seront vite atteints. En d'autres termes, le décret pourrait facilement viser d'autres catégories d'allocataires que les grands fraudeurs qui ont motivé sa rédaction. « On voit bien qu'il s'agit plutôt de faire des économies sur les dépenses sociales », déplore Jean-Baptiste…
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