Recevoir la newsletter

Le Quai d'Orsay lève les restrictions qu'il avait posées à l'enregistrement des PACS « mixtes » à l'étranger

Article réservé aux abonnés

Les agents diplomatiques et consulaires n'ont pas à s'opposer à l'enregistrement, à l'étranger, d'un pacte civil de solidarité (PACS) conclu entre un ressortissant français et une personne de nationalité étrangère même si la législation locale prohibe la vie de couple hors mariage de deux personnes de sexe différent ou de même sexe. Tel est le sens des nouvelles instructions adressées aux ambassades et consulats français par le ministère des Affaires étrangères... qui prévoyait le contraire dans deux paragraphes d'une circulaire du 28 septembre 2007 (1), jugés discriminatoires et suspendus par le Conseil d'Etat à la demande de plusieurs associations (2). Rappel des faits : dans cette circulaire, le Quai d'Orsay invitait l'ambassadeur ou le chef de poste consulaire à s'assurer, avant d'examiner une demande de PACS, que « l'ordre public local ne prohibe pas la vie de couple, hors mariage, de deux personnes de sexe différent ou de même sexe ». Ainsi, si l'union libre ou l'homosexualité étaient interdites dans le pays concerné, la demande ne pouvait être examinée. Le ministère posait toutefois une exception pour les cas où les demandeurs étaient tous deux français : s'ils persistaient…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur