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Des psychologues de la PJJ dénoncent la mise à mal de leurs missions

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La dimension clinique est-elle en danger à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ? C'est en tout cas la conviction d'un groupe de psychologues de la région parisienne, réunis à l'initiative du SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU (1). Leurs réflexions ont abouti à la rédaction d'un manifeste d'une quinzaine de pages visant à « réaffirmer la place de la clinique dans le cadre des missions qui sont imparties aux psychologues ». Le problème, défend le document, est que l'écart se creuse entre les positions professionnelles de ces derniers et les orientations politiques actuelles. Ainsi, leur travail « est surtout tenu de s'adapter à une politique de diminution de l'intervention sociale de l'Etat, conjuguée à la priorité accordée aux applications des mesures sécuritaires à la PJJ ». Le temps judiciaire, de plus en plus court, entre en contradiction avec celui de la pratique clinique. La sous-évaluation de leurs missions, ajoutent les professionnels, aboutit à un manque accru d'effectifs - que les directions tentent de compenser par le recrutement de contractuels -, et au recours aux « compléments de services », qui consistent à « partager…
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