Recevoir la newsletter

La réforme de la carte judiciaire contestée

Article réservé aux abonnés

La fermeture annoncée de tribunaux par la garde des Sceaux dans le cadre de la réforme de la carte judiciaire, dont 23 tribunaux de grande instance et 178 tribunaux d'instance, provoque la colère des professionnels de la justice, qui appelaient à la mobilisation le 29 novembre. Un mouvement auquel se sont joints le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU (1) et le Snepap (Syndicat national de l'ensemble des personnels de l'administration pénitentiaire)-FSU (2). Déplorant le manque de concertation pour préparer ce découpage territorial et la méthode employée, les deux syndicats dénoncent une répartition des tribunaux « au gré des intérêts comptables de la gestion de la justice », qui va accroître les inégalités territoriales dans l'accès au service public. Ils craignent également un nouveau frein à l'accès aux instances judiciaires pour les publics en difficulté : « Les trajets plus longs et plus coûteux pour se rendre dans les lieux d'exercice de la justice vont pénaliser encore une fois tous ceux qui ont de faibles revenus. » De leur côté, l'Association nationale des juges d'instance, la FNAT (Fédération nationale des associations tutélaires),…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur