Recevoir la newsletter

En 2006, les dépenses de protection sociale ont augmenté un peu moins vite que la richesse nationale

Article réservé aux abonnés

Avec 554 milliards d'euros en 2006, les dépenses liées à la protection sociale se sont accrues en un an de 3,5 % en valeur et de 1,6 % en termes réels (1). Cette croissance est inférieure à celle de la richesse nationale (respectivement 4,3 % et 2 %). Les prestations perçues par les ménages représentent 95 % de l'ensemble (2). Pour la deuxième année consécutive, la croissance des ressources (4,6 % en valeur) a été plus rapide que celle des dépenses (3,5 %), tout en laissant subsister un besoin de financement de 5,6 milliards d'euros, soit 1 % du total. Les régimes d'assurances sociales assurent 80,8 % de l'ensemble des prestations, dont 44,5 % pour le seul régime général de sécurité sociale. Ils participent à tous les risques sauf l'exclusion. L'intervention sociale des pouvoirs publics représente 10,8 % des dépenses, et couvre surtout les prestations de solidarité (revenu minimum d'insertion, allocation aux adultes handicapés, allocation spéciale de solidarité, couverture maladie universelle complémentaire, etc.). Les régimes non obligatoires (mutualité, prévoyance...) y ajoutent 4,4 % et les régimes d'employeurs 2,5 %. Toujours en 2006, le taux des prélèvements obligatoires…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur