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Les associations veulent passer à la vitesse supérieure pour rendre le droit au logement opposable

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Une dizaine d'associations - dont les Enfants de Don Quichotte, le Secours catholique, ATD quart monde et la Fondation Abbé-Pierre, Droit au logement (DAL), Emmaüs - ont lancé, le 30 octobre, un appel au président de la République pour qu'il prenne à bras le corps la question du logement des plus démunis. Elles se disent prêtes à le rencontrer pour lui faire des propositions concrètes. « Cela fait trente ans que l'on évoque les problèmes d'accès au logement. Si l'on veut réduire d'un tiers en cinq ans le taux de pauvreté, il faut se donner les moyens de les résoudre », affirme Gilbert Lagouanelle, directeur de l'action France et institutionnelle du Secours catholique. Toutes les associations le reconnaissent, l'adoption en mars dernier de la loi sur le droit au logement opposable (DALO) constitue une avancée importante. Mais encore faut-il transformer l'essai et passer à la vitesse supérieure. Or, de ce point de vue, le projet de loi de finances 2008, même si les moyens donnés au logement et à la lutte contre l'exclusion sont en augmentation, ne répond pas aux promesses de la loi DALO (1). Augmentation trop faible du budget des CHRS (centres d'hébergement et de réinsertion sociale)…
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