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« Nous sommes sortis de nos cabinets, il faudra s'y faire »

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Les centres psychanalytiques de consultations et de traitement, qui rendent la psychanalyse accessible aux publics défavorisés (1), répondent à un réel besoin et renouvellent la pratique, défend Catherine Lazarus-Matet, psychanalyste, membre de l'Ecole de la Cause freudienne et psychiatre. Elle réplique ainsi à une précédente « tribune libre » parue dans nos colonnes, dans laquelle Joseph Rouzel, le directeur de l'Institut européen Psychanalyse et travail social mettait en cause ces structures (2).
« Que la psychanalyse soit en prise directe sur le social, c'était le voeu de Freud. Il l'a clairement exprimé en 1918, alors qu'avec la fin de la Grande Guerre commençait à proprement parler le XXe siècle. Les effets thérapeutiques de la psychanalyse, disait-il, devront s'appliquer au plus grand nombre, à la multitude de ceux qui souffrent, grâce à des établissements gratuits, l'adaptation de la technique analytique, la formation de nombreux analystes, le soutien de l'Etat (3). Au commencement du XXIe siècle, en France, nous y sommes enfin. Le CPCT (centre psychanalytique…
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