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Les départements veulent voir leur compétence sociale renforcée et leur marge d'initiative élargie

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« Principaux acteurs territoriaux de la mise en oeuvre des politiques de solidarité », les départements ne veulent pas pour autant « devenir des services extérieurs de l'Etat », chargés d'appliquer des « politiques décidées au niveau central », avec des implications budgétaires « qu'ils ne maîtrisent pas », tout en étant appelés, de plus en plus, à les financer. Réunie sur ce thème des solidarités pour son dernier congrès avant le renouvellement des instances qui suivra les élections cantonales de mars 2008, l'ADF (Assemblée des départements de France) (1) a tenu a rappeler ses positions dans une résolution. Pour elle, en effet, « si les conseils généraux sont appelés à développer la solidarité départementale, celle-ci ne peut se substituer à la solidarité nationale ». Passant en revue les différents domaines de leur responsabilité, les départements réaffirment d'abord que la protection de l'enfance, qui reste leur « coeur de métier », est « très différente de la prévention de la délinquance, dont la responsabilité relève des missions régaliennes de l'Etat ». A propos de l'insertion - qui leur laisse 1,6 milliard de charges non compensées pour les années 2004-2007, « notamment en…
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