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L'expérimentation de la séparation des fonctions civile et pénale du juge des enfants contestée

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La mise en chantier, par la ministre de la Justice, de l'expérimentation de la répartition des fonctions civile et pénale du juge des enfants (1) suscite beaucoup de questions dans le secteur de la protection de la jeunesse. « Cette décision est une nouvelle attaque portée contre les fondements de la justice des mineurs. Celle-ci tire sa richesse et son efficacité d'une approche globale des jeunes », proteste le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU. Vouloir scinder les jeunes en deux catégories - ceux qui relèveraient de la protection et ceux qui relèveraient de la sanction - est, selon l'organisation, « absurde et dangereux ». Michel Franza, directeur général de l'Unasea (Union nationale des associations de sauvegarde de l'enfance, de l'adolescence et des adultes), affiche tout autant sa circonspection face à ce projet annoncé depuis la campagne présidentielle. « Sur le principe, il n'y a pas de raison de revenir sur un système bien construit, mais peut-être mal appliqué, estime-t-il. Dans la méthode, il aurait été plus intéressant de s'appuyer sur une large réflexion sur l'ordonnance de 1945, au lieu de détricoter les choses petit à petit,…
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