Recevoir la newsletter

Le scénario du « libre choix » suppose des investissements importants pour les établissements et le maintien à domicile, rappelle le CES

Article réservé aux abonnés

Qu'une personne âgée de 60 ans ait trois chances sur quatre d'atteindre 80 ans - contre une sur trois en 1900 - est une conquête majeure, d'autant que ce vieillissement est de plus en plus longtemps synonyme de bonne santé. Loin d'être la catastrophe ou le « tsunami » trop souvent annoncé, l'allongement de la durée de vie est également une bonne nouvelle au plan économique. Les personnes âgées qui disposent, pour la plupart, de revenus et d'un patrimoine, consomment et aident les générations suivantes. Un préliminaire qu'a tenu à formuler Michel Coquillion, vice-président (CFTC) du Conseil économique et social (CES), et rapporteur d'un avis sur « l'impact de l'allongement de la durée de vie sur les systèmes d'aide et de soins », adopté le 26 septembre 2007 (1) par 168 voix pour et 26 abstentions, celles du groupe des entreprises privées. Comme l'avait déjà fait le rapport Gisserot (2), le CES relativise l'impact de l'augmentation de 1 % par an du nombre des plus de 75 ans d'ici à 2025 - et vraisemblablement des personnes dépendantes dans la même proportion -, surtout si la fécondité et le taux d'activité évoluent favorablement. En tout état de cause, estime le rapporteur, cette…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN TEXTES

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur