Débats autour de la grille AGGIR et de l'évaluation de la dépendance psychique
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Publié le : Dernière Mise à jour : 25.08.2017Lecture : 1 min.
Comment évaluer et traduire en besoins d'aide les différentes incapacités repérées grâce à la grille AGGIR (autonomie gérontologique, groupes iso-ressources) ? De nouveau sur le métier, celle-ci devrait donner lieu à un décret en Conseil d'Etat dans les prochains mois. Cet outil d'évaluation de la perte d'autonomie avait déjà fait l'objet, en 2005, d'un nouveau « guide d'utilisation » à l'usage des professionnels du secteur des personnes âgées (1). Sans être bouleversé, il devrait, cette fois, être accompagné d'un nouveau « guide d'évaluation ». Toujours dans le même objectif : mieux prendre en compte les troubles psychiques, souvent sous-estimés, et les besoins d'accompagnement qu'ils entraînent. Le même groupe de travail - composé, depuis la création de l'outil, d'experts du Syndicat national de gérontologie clinique (SNGC) et de la caisse nationale de l'assurance maladie - s'est donc remis à l'ouvrage. Pour chacune des 17 variables prises en compte (par exemple la personne s'habille-t-elle ou mange-t-elle seule ?), il a précisé le sens des quatre adverbes proposés : habituellement, spontanément, totalement, correctement. Il a aussi subdivisé les deux items les plus délicats…
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