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Des lits de psychiatrie continuent à fermer, dénonce la CGT Santé et action sociale

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« Nous refusons de laisser la psychiatrie se faire asphyxier », martèle la Fédération de la santé et de l'action sociale de la CGT, alors que les annonces gouvernementales concernant les détenus dangereux sont largement critiquées (1). Le syndicat réclame, outre des structures de soins suffisantes en détention, des moyens et un plan pour l'emploi et la formation à la hauteur des besoins de la psychiatrie de secteur. Car sur ce point, explique-t-il, le plan « psychiatrie et santé mentale » de 2005 (2), engagé après le double meurtre à l'hôpital psychiatrique de Pau, n'a pas répondu aux attentes : malgré le moratoire annoncé, « les lits ont continué à fermer, les structures n'ont plus les moyens de fonctionner, le manque de personnels s'accentue, de plus en plus de postes de psychiatres sont vacants et le glissement des tâches s'accroît... » Le centre hospitalier du Vinatier, à Lyon, qui devrait accueillir en 2009 la première structure fermée pour délinquants sexuels, aurait ainsi perdu 100 lits depuis 2004, rapporte Nathalie Gamiochipi, animatrice du collectif national sur la psychiatrie au sein de la CGT Santé et action sociale. Quand l'hôpital psychiatrique de Toulouse, dévasté…
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