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Droits de l'enfant : privilégier la cohérence des textes

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L'inflation récente des lois ayant un impact sur les droits des enfants brouille les cartes en matière de compétences et de responsabilités des différentes institutions, et la conformité de ces textes avec la Convention internationale des droits de l'enfant pose question, explique Barbara Walter, docteur en sciences de l'éducation, chercheure à la Société lyonnaise pour l'enfance et l'adolescence et présidente du Conseil français des associations pour les droits de l'enfant (Cofrade) (1).
« A la fin du XIXe siècle et au début du XXe, la protection de l'enfance était caractérisée par une gestion répressive des enfants et de leur famille : séparation souvent définitive entre les enfants et leurs parents déchus de leurs droits, mineurs - souvent très jeunes - déportés dans les bagnes d'enfants... Faisant suite à la loi de 1912 sur les tribunaux pour enfants et adolescents et sur la liberté surveillée, l'ordonnance de février 1945 est venue instaurer une distinction entre la justice des mineurs, éducative, et celle des adultes, plus répressive. L'évolution s'est donc faite dans le sens d'une foi en l'éducabilité…
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