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« Faire reconnaître la réflexion francophone sur la formation et le travail social »

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Depuis le 3 juillet et jusqu'au 7, se tient à Namur, en Belgique, le deuxième congrès international des formateurs en travail social et des professionnels francophones de l'intervention sociale. Rencontre avec Jacques Leroy, co-président du comité de gestion (1).
Quel est l'objectif de votre congrès ?Il est d'affirmer, au sein des congrès internationaux, une identité francophone dans les réflexions sur le travail social et les formations sociales et de poursuivre l'initiative lancée à Caen en 2005 par Jean-Marie Gourvil, directeur des formations de l'IRTS de Basse-Normandie, et Claude Larivière, professeur et chercheur à l'école de service social de l'université de Montréal (2). Nous voulons mettre en évidence notre spécificité francophone dans l'analyse de ces questions, qui tient à notre culture et à l'évolution de nos politiques sociales, et affirmer notre complémentarité avec l'approche anglo-saxonne dominante.Quel est l'espace de cette « identité francophone » ?Il est très large et, par rapport au congrès de Caen, nous avons renforcé son caractère international. Nous accueillons ainsi plus de 450 personnes…
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