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Un rassemblement contre la « double violence » faite aux femmes étrangères victimes de violences conjugales devait être organisé à l'appel d'une vingtaine d'organisations le 28 juin, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise. La juridiction devait examiner le recours formé par une jeune femme marocaine faisant l'objet d'une obligation à quitter le territoire. Son époux, naturalisé, l'a rejetée deux mois après son arrivée en France et dénoncée à la préfecture. Or, selon la législation, les conjoints de Français et les personnes venues par le regroupement familial se voient refuser un titre de séjour en cas de rupture de communauté de vie. Les organisations à l'initiative de la mobilisation - parmi lesquelles le Réseau éducation sans frontières, la Ligue des droits de l'Homme, le Collectif national pour les droits des femmes et le Réseau pour l'autonomie des femmes immigrées et réfugiées (RAJFIRE) - dénoncent une aggravation par les lois françaises des situations de dépendance des femmes et l'absence de protection effective des victimes de violence conjugale. C/o RAJFIRE : Maison des femmes - 163, rue de Charenton -75012 Paris - rajfire@wanadoo.fr. Le collectif Uni(e)s…
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