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Droit au logement opposable : « ne jouons pas aux apprentis sorciers »

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Le principe de continuité de la prise en charge des personnes sans abri, instauré par la loi sur le droit au logement opposable et précisé dans la foulée par une circulaire, apporte aux fondements du travail social des modifications dont l'ampleur n'a pas été mesurée. C'est la conviction de Stéphane Rullac (1), éducateur spécialisé, docteur en anthropologie et responsable de projet au centre de formation Buc Ressources, dans les Yvelines.
« Le 19 mars dernier, une circulaire de Catherine Vautrin, alors ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité, a précisé le principe de continuité dans la prise en charge des personnes sans abri (2). Toutes les institutions du travail social qui assurent un hébergement à visée d'insertion (centre d'hébergement d'urgence ou centre d'hébergement et de réinsertion sociale [CHRS]) doivent proposer une prise en charge à durée indéterminée : désormais, il faut que «cesse toute notion de durée maximale de séjour dans les structures d'hébergement d'urgence, qu'il s'agisse de places dédiées dans des centres conventionnés ou de places dédiées dans des CHRS». La sortie…
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