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Le cri de colère des « naufragés de l'amour »

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Un voile pudique a longtemps occulté la question de la sexualité des personnes en situation de grande dépendance physique du fait de leur handicap. Aujourd'hui, le sujet n'est plus tabou. Cependant, faute d'être assorti des moyens de l'exercer, le droit des intéressés à avoir des relations sexuelles reste très souvent virtuel.
Ni anges, ni bêtes, les femmes et les hommes en situation de handicap ne constituent pas un genre à part. Comme tout humain en vie, elles et ils ont des désirs, dont celle de nouer des relations amoureuses avec autrui. Cependant, les personnes qui sont physiquement dépendantes d'un tiers pour réaliser les actes ordinaires les plus quotidiens le sont également en ce qui concerne leur vie affective. « Il est donc plus que temps de poser publiquement la question de l'accompagnement érotique et sexuel des personnes en situation de dépendance vitale, pour trouver une réponse citoyenne adaptée à leurs attentes légitimes », affirme Marcel Nuss, président de la Coordination handicap et autonomie (CHA). Tel était l'objet du colloque international, organisé fin avril au Parlement européen de Strasbourg, à l'initiative de la CHA,…
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