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La montée en charge des Sessad, alternative à l'établissement

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Plus d'un tiers des enfants handicapés nés dans les années 90 et passés en CDES (commission départementale d'éducation spéciale) (1) ont été orientés à un moment ou à un autre vers un Sessad (service d'éducation spéciale et de soins à domicile). Même si 16 % de ces notifications n'ont pas été suivies d'effet - faute de place dans un service adapté ou du fait des parents -, ce taux témoigne de la montée en charge de ce type d'accompagnement dans le milieu de vie, familial et scolaire (2). Nés d'une initiative de l'APF (Association des paralysés de France), les services d'accompagnement à domicile ont été officialisés une première fois par un décret de 1970, puis intégrés en 1989 dans les « annexes XXIV » (3). Le nombre de places est passé de 5 000 en 1985 (4 % du total de l'offre en établissements et services) à 26 300 en 2005 (25 %). Les orientations vers les Sessad ont grimpé parallèlement de 10 % en 1989-1990 à 25 % en 2002-2003. A un moment ou un autre de leur parcours, 58 % des enfants pris en charge par un Sessad sont également passés par un établissement médico-social. Quels sont les facteurs qui ont une influence significative sur l'orientation en Sessad ? Proportionnellement…
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