Recevoir la newsletter

Congé de soutien familial : des conditions d'accès trop restrictives aux yeux des associations

Article réservé aux abonnés

Attendues depuis la conférence de la famille 2006, les dispositions relatives au congé de soutien familial, fixées par un décret paru le 20 avril (1), sont les « premières mesures en faveur des aidants familiaux ». C'est « une avancée majeure », souligne le Collectif interassociatif d'aide aux aidants familiaux (CIAAF) (2), qui espère qu'elle permettra « d'enclencher une nouvelle dynamique », tout en déplorant « des modalités trop restrictives ». Le congé est réservé aux salariés qui ont une ancienneté de plus de deux ans dans l'entreprise, regrette ainsi le collectif. En outre, la personne aidée doit avoir un taux d'incapacité permanente reconnu de plus de 80 % ou un classement en GIR 1 ou 2, qui attestent d'une dépendance déjà installée de longue date. Autre problème : bien que le congé permette de valider des droits à la retraite et soit assorti d'une « certitude de retrouver son emploi », le collectif pointe son « manque d'attractivité ». Sans rémunération, il est en outre « limité à quelques mois alors que les aidants ont souvent besoin de solutions sur plusieurs années ». Enfin, le CIAAF salue la clarté et l'utilité du « Guide de l'aidant » mis en ligne par le ministère…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur