Les villes souhaitent être davantage associées à la définition des politiques sociales
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Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 2 min.
Quel rôle les maires se donnent-ils en matière de solidarité et d'amélioration du « vivre-ensemble » ? La question a été posée par l'ODAS (Observatoire national de l'action sociale décentralisée), qui a mené l'enquête auprès des villes de plus de 20 000 habitants (1). Interrogés sur ce qui leur paraît le plus important pour le bien-être de leurs concitoyens, les élus placent toujours en tête, et de très loin, l'emploi, devant l'habitat et le cadre de vie. Viennent en troisième position, à peu près à égalité, la sécurité et le lien social, puis, nettement derrière, le niveau de vie et les loisirs. Quant aux services qui participent au renforcement du « vivre-ensemble », les édiles municipaux placent en tête les services sociaux (cités par 88 % d'entre eux). Viennent ensuite en bonne place les services touchant à l'éducation et à la jeunesse (74 %) et au soutien à la participation des habitants, à travers la vie associative notamment (66 %). Plus surprenant : l'action touchant aux sports (52 %) et à la culture (49 %) passe devant celle qui a trait à la sécurité (35 %), à l'habitat et à l'urbanisme (33 %) ou à la politique de la ville (33 % également). Les élus ont donc une vision…
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