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Un rapport souligne la diversité des emplois dans l'animation socioculturelle

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Où en est la professionnalisation des animateurs socioculturels, dont la nécessité est proclamée depuis 1981 ? C'est une question à laquelle Francis Lebon, sociologue, chargé de recherche à l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (INJEP), s'attache à répondre dans un rapport rédigé en collaboration avec le sociologue et maître de conférences à l'université Paris-XII Emmanuel de Lescure (1). En 2004, les animateurs étaient pour 19 % d'entre eux employés par un établissement relevant du secteur de l'éducation, de la santé et de l'action sociale. Leur population semble divisée en trois composantes, constate l'auteur : « la masse des diplômés BAFA (brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur de centres de vacances et de loisirs), un nombre important de BEATEP (brevet d'Etat d'animateur technicien de l'éducation populaire et de la jeunesse) et de BPJEPS (brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport), une minorité de «défasiens» [titulaires du diplôme d'Etat relatif aux fonctions d'animation] et de diplômés de l'université (DUT «carrières sociales», etc.) ». Le niveau de formation et de diplôme des animateurs est très dispersé, relève-t-il,…
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