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Les médecins scolaires dénoncent la pénurie de leurs moyens

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« En nombre très insuffisant depuis de nombreuses années, les médecins de l'Edu-cation nationale ont en charge actuellement jusqu'à 12 000 élèves et ne peuvent plus répondre à toutes leurs missions. Ils sont amenés à agir en situation d'urgence et non de prévention. Ils doivent faire constamment des choix de priorités parmi les priorités. » Dans une lettre ouverte aux candidats à la présidence de la République qu'ils rendaient publique le 3 avril, trois syndicats de médecins scolaires - le Syndicat des médecins de l'Education nationale (Smeden-FO), le Syndicat national autonome des médecins de santé publique de l'Education nationale (Snamspen-UCMSF) et le Syndicat national des médecins scolaires et universitaires (SNMSU-UNSA) - réclament des moyens cohérents avec l'ensemble de leurs missions. Particulièrement mobilisés depuis la suppression de 368 équivalents temps plein en 2005, les syndicats avaient obtenu 40 postes supplémentaires en janvier dernier. Insuffisant, protestent-ils, le taux d'encadrement moyen d'un médecin pour 7 425 élèves restant dérisoire face à l'augmentation de la charge confiée aux médecins de l'Education nationale. « Le seul bilan systématique d'une tranche…
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