La direction de la PJJ formule des critiques à l'encontre du dispositif d'activités de jour et d'insertion
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Lecture : 3 min.
Un récent rapport de la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) rend compte du dispositif national d'activités de jour et d'insertion, dont les résultats sont toutefois, selon ses propres termes, à considérer avec prudence dans la mesure où l'étude n'a porté que sur une petite dizaine de départements.Un contenu et des bénéficiaires très diversifiésSelon la définition du groupe d'appui national aux activités de jour et d'insertion, ces mesures ont pour objectif l'accueil des jeunes dans la journée en privilégiant la mise en oeuvre d'actions concrètes visant à leur développement personnel, leur intégration sociale ou leur insertion professionnelle. D'après le rapport, la majorité des activités sont mises en oeuvre par le secteur public de la PJJ et, quand elles le sont par le secteur associatif habilité ou conventionné, elles concernent plus souvent la professionnalisation ou la socialisation que la scolarisation. Selon le rapport, les activités sont « largement ouvertes à un public extérieur au secteur public de la PJJ ». Au 30 mars 2006, sur environ 5 000 jeunes recensés par les directions départementales, 3 150 relèvent de ce secteur (soit 63 %). Parmi eux, plus…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques