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Les maisons départementales entre contraintes et promesses

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La mise en oeuvre des maisons départementales des personnes handicapées reste, un an après leur création, laborieuse. Fusion difficile des différents personnels qui y interviennent, empilement des dossiers de demande d'aide, absence de système d'information centralisé..., la liste des dysfonctionnements est longue. Ces difficultés obligent les acteurs au pragmatisme et sont sans doute à la mesure du changement culturel opéré par la loi du 11 février 2005.
Un simple chiffre : jusqu'ici, à partir du moment où l'on se voyait annoncer que son enfant était porteur d'une trisomie, il fallait compter environ 18 mois pour savoir vers qui se retourner afin d'obtenir une aide. Ce long délai, source d'angoisses pour les intéressés, éclaire d'une certaine manière le défi auquel sont confrontées les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). « Un des premiers objectifs de la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a été de mettre en place un dispositif, qui simplifie les procédures d'attribution des aides au handicap avec un lieu, un dossier et une…
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