Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Le CEGES (Conseil des entreprises, employeurs et groupements de l'économie sociale) a interpellé, le 1er mars, les candidats à l'élection présidentielle sur la place qu'ils réservent à l'économie sociale, en particulier sur la reconnaissance des employeurs du secteur comme partenaires sociaux à part entière, la création d'une structure ministérielle (type secrétariat d'Etat) rattachée au Premier ministre, l'introduction de clauses sociales dans les appels d'offres publics et la notion d'intérêt général à faire confirmer au plan européen. Citoyens et justice, la fédération des associations socio-judiciaires, a aussi posé cinq questions aux candidats. Elle leur demande s'ils comptent développer les alternatives à l'incarcération (et avec quels moyens d'accompagnement), favoriser le développement des alternatives aux poursuites sur le plan qualitatif (et non pas seulement quantitatif) et améliorer les dispositifs visant à mieux informer les magistrats du parquet et du siège préalablement à leurs décisions. Elle les interroge également sur la place qu'ils souhaitent donner au secteur associatif et à son expertise dans l'élaboration des politiques publiques sur la sécurité, la prévention…
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