« La psychiatrie doit travailler avec tous les acteurs sociaux. Et réciproquement »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 3 min.
L'Unafam (Union nationale des amis et familles de malades mentaux) (1), un des acteurs essentiels de la récente reconnaissance du handicap psychique, vient de tenir son 39e congrès, les 26 et 27 janvier. L'occasion pour son président, Jean Canneva, de mesurer le chemin parcouru et de définir les progrès qui restent à accomplir, surtout en matière de travail en réseau et de partenariats.
Quelles sont les « nouvelles actions » de l'Unafam dont vous venez de débattre ?Ce congrès 2007 est pour nous une étape très importante. En 2001, nous avions adopté un « Livre blanc » avec trois objectifs : faire exister socialement la population des personnes handicapées psychiques, créer des espaces d'accueil dans la cité et promouvoir le partenariat entre les secteurs médical et social. Sur les deux premiers points, nous sommes en passe de réussir, avec la reconnaissance du handicap psychique par la loi du 11 février 2005 et la création de 300 groupements d'entraide mutuelle (GEM) dans la France entière en un an et demi. En revanche, sur le troisième point, c'est l'échec, le surplace. Alors, ce que nous demandions…
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