Recevoir la newsletter

La réduction des risques, une clinique du lien ?

Article réservé aux abonnés

Après avoir exercé longtemps dans l'ombre, les acteurs de la réduction des risques entendent bien réussir le tournant de l'institutionnalisation opéré par la loi sur la politique de santé publique, sans perdre leur capacité à innover. Reste toutefois encore à convaincre l'ensemble des professionnels, des élus et des citoyens du bien-fondé de cette politique.
« Si tu ne veux pas prendre de risques avec les drogues, n'en prends pas... Si tu ne peux pas faire autrement, fais plutôt comme ça... Si tu n'y parviens pas, fais au moins ça... » Ainsi se décline, simplifiée à l'extrême, la lo-gique de la réduction des risques (RdR). Une logique, pragmatique, au service des usagers de drogues comme de la santé publique puisqu'elle vise à diminuer les dommages sanitaires et sociaux de la consommation de produits psycho-actifs. « L'objectif de cesser de prendre des drogues n'est pas écarté, mais la réduction des risques tient compte du fait que ça ne se fait pas du jour au lendemain. C'est en ne niant pas l'intérêt que les personnes trouvent à leur consommation qu'elle permet de faire passer d'autres dimensions, celles du risque et de sa gestion », résume…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LES ACTEURS

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur