...tandis que le HCI émet des « propositions d'amélioration » du dispositif
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 3 min.
En mai dernier, Dominique de Villepin demandait au Haut Conseil à l'intégration de réfléchir à des pistes d'amélioration pour le contrat d'accueil et d'intégration. L'instance lui a rendu sa copie le 29 janvier (1), axant une grande partie de ses propositions sur les formations civique et « vivre en France », proposées dans ce cadre (voir ci-dessus). Le Haut Conseil préconise ainsi de regrouper les deux modules - de deux fois six heures chacun - pour passer à trois journées. Soit 18 heures de formation, réalisées par un seul formateur. « Ces journées pourraient être consécutives ou séparées d'une semaine. » Avant même d'arriver à cette fusion, le HCI propose de rendre obligatoire le module de formation « vivre en France ». « Trop de migrants » le conçoivent comme « une redite de la formation civique sous un angle plus pratique », explique-t-il. Non seulement « il n'est pas possible de mobiliser les formateurs, et a fortiori des intervenants extérieurs, lorsqu'il n'y a, par exemple, que deux personnes présentes sur quinze inscriptions », mais encore, « malgré l'insistance des auditeurs sociaux de l'Agence nationale de l'accueil des étrangers et des migrations (ANAEM) lors du pré-accueil…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques