Sans-abri : les acteurs espèrent désormais des solutions pour tous
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 05.08.2017Lecture : 2 min.
Parmi les 269 personnes qui s'étaient installées au bord du canal Saint-Martin, à l'appel des Enfants de don Quichotte, 122 s'étaient, au 23 janvier, vu proposer une orientation vers un logement (36 % en comptant les maisons-relais), en résidence sociale (20 %) ou en hébergement (37 %), en grande partie acceptée par les intéressés. Selon la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale (FNARS), membre de la commission de suivi chargée de cette « sortie de crise », deux tiers sont titulaires des minima sociaux, 10 % travaillent et les autres sont des chômeurs en fin de droits ou des jeunes de moins de 25 ans sans ressources. En province (où ont été recensées 477 personnes en campement), la situation évolue plus ou moins facilement selon les villes : dans cinq d'entre elles, des propositions avaient été présentées à 65 sans-abri au 17 janvier. Le 24, le sous-préfet à la ville de Strasbourg annonçait la rupture des négociations avec Les enfants de don Quichotte, faute d'accord sur les solutions trouvées... Quoi qu'il en soit, les dispositifs mis en place montrent « que l'on peut proposer une solution durable aux personnes, même quand elles sont accueillies…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques