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La rapidité des réponses ne doit pas empêcher la cohérence des solutions, estiment les associations

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Passée la surprise, voire l'amertume, de voir élaboré en quelques jours un texte sur l'opposabilité du droit au logement, les associations ne peuvent que se féliciter de la voie prise par le gouvernement, qui devrait présenter son projet, approuvé à l'unanimité par le Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, en conseil des ministres le 17 janvier.Soutien consensuelLa soixantaine d'associations signataires de la plateforme pour le droit opposable (1) ont d'ailleurs choisi, le 9 janvier, de gommer leurs divergences et de présenter la position la plus consensuelle possible sur le texte : « La plateforme prend acte de ces avancées et exprime son soutien à trois points du projet », a brièvement déclaré Olivier Nodé-Langlois (2), coordinateur de la plateforme, à l'issue de trois heures de réunion : « l'inscription dans la loi de la garantie par l'Etat de l'opposabilité du droit au logement tel qu'il est défini par la loi du 31 mai 1990, l'institution d'un recours devant la juridiction administrative qui statuera selon la procédure de référé et la création d'un organisme chargé du suivi de la mise en oeuvre du droit au logement, qui devra faire des propositions législatives…
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